LORIC rend hommage à CLAUDE FRANCOIS

Publié le 17 Janvier 2015 par Patrice B.

Il était une fois Cloclo...

Presque 40 Ans déjà et pourtant tout le monde se souvient des refrains et mélodies de Cloclo. Son plus grand fan niçois, Loric, lui rend régulièrement hommage au travers de petits spectacles ou animations diverses. Mais sur l'impulsion de son entourage, il a décidé de sortir le grand jeu : spectacle complet avec danseuses, décors, lumières. Bref : la totale ! Voici "Il était une fois Cloclo".

Je vous vois déjà soupirer et penser : encore une pâle imitation. Et bien non. Ici, pas de tentative d'imitation par un sosie moisi et trop maquillé. Loric chante avec sa voix, sans essayer d'égaler le timbre de Claude. Bien entendu, tous les "tubes" sont là : De "Belle Belle Belle" à "Alexandrie Alexandra" en passant par "Comme d'habitude", "Cette Année là", "Je vais à Rio". Vous les connaissez tous et vous ne les avez pas oubliés !

Né à Nice, Loric se passionne dès l’âge de 8 ans pour la musique. Ses premiers pas dans la chanson commencent grâce à son adoration pour Claude François transmise par sa mère qui était fan de l’artiste. Lors d’un dîner spectacle, il rencontre Jacques Reggiani qui devient son mentor et c’est ainsi qu’il découvre jour après jour l’amour de ce métier.

Durant son adolescence, il crée différents spectacles avec des danseuses sur des rythmes latinos. Il continue son ascension en passant par Paris en prenant des cours de chant avec un professeur lyrique qui le fait retourner à ses premières amours : les chansons à voix des artistes qui l’ont le plus influencés (Florent Pagny, Andréa Bocelli, Serge Reggiani et Claude François).

Après une pause, il se lance dans l’animation puis dans la radio ce qui l’amène à présenter des événements sur scène (Pièces jaunes, Téléthon, etc…). En parallèle, il est sollicité pour parrainer l’association « Chiens guides d’aveugles » à qui il dédia un spectacle de variété.
En 2008, il sort son premier single : «System Love».

Mardi 24 Février 2015 - 20h00 - Théâtre Francis Gag (Nice)